La cabane était modeste, mais solide. Du bois sombre patiné par les hivers, un poêle en fonte au cœur de la pièce principale, et une large fenêtre donnant sur une vallée blanche et silencieuse. Rien de luxueux. Rien d’ostentatoire. Juste assez pour respirer.
La première nuit, j’ai dormi profondément, comme je ne l’avais pas fait depuis des années. Pas de téléphone qui vibre. Pas de messages passifs-agressifs. Pas de cette sensation constante de devoir prouver que j’étais encore utile, encore digne d’attention.
Au matin, j’ai préparé du café en regardant le soleil se lever sur les montagnes. Le monde semblait vaste à nouveau, et moi, étonnamment présente.
Pendant des années, j’avais accepté de me rendre disponible à tout moment. Les vacances passées à garder les petits-enfants pendant que mes enfants « avaient besoin de souffler ». Les décisions prises à ma place, toujours avec cette phrase : « C’est pour ton bien, maman. » Et Noël, autrefois bruyant et chaleureux, était devenu une formalité où l’on me plaçait au bout de la table… quand on se souvenait de m’inviter.
L’an dernier, ils avaient simplement cessé de faire semblant.
La cabane n’était pas un acte de vengeance. C’était un acte de survie.
Les jours suivants, je me suis installée lentement. J’ai accroché quelques photos, planté un petit sapin devant l’entrée, appris à fendre du bois sans me presser. Chaque geste était une reconquête. Chaque silence, un baume.
Puis vinrent les messages.


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