Le week-end du drame, j’ai confié Jacob à mes parents pour un rendez-vous professionnel. Daisy était déjà présente quand je l’ai déposé. Son attitude froide m’a mis mal à l’aise, sans que je puisse expliquer pourquoi.
Trois heures plus tard, je suis revenu avec deux gâteaux au chocolat, un pour Jacob et un pour sa cousine. Mes parents étaient absents. Ma mère m’a expliqué au téléphone qu’ils étaient sortis faire des courses et avaient laissé Jacob avec Daisy.
Lorsque j’ai demandé à Daisy où était mon fils, elle m’a répondu sans émotion qu’il jouait peut-être dehors. J’ai fouillé la maison, le jardin, sans résultat. Puis cette sensation est revenue. Je me suis dirigé vers sa voiture.
Jacob était là, enfermé. J’ai frappé à la vitre, crié son nom. La panique m’a envahi. Daisy refusait de me donner les clés. J’ai fini par saisir une batte de baseball et briser le pare-brise pour le sortir.
Jacob était brûlant, déshydraté, à peine conscient. Il a murmuré qu’il avait eu peur, puis s’est évanoui dans mes bras. J’ai appelé les secours immédiatement.
À l’hôpital, les médecins m’ont dit que j’étais arrivé juste à temps. La police et les services de protection de l’enfance ont été alertés. Mes parents sont arrivés, effondrés, répétant que c’était un accident. Daisy, elle, n’a pas donné signe de vie.
Quand Jacob s’est réveillé, il a dit clairement : « Tante Daisy m’a enfermé dans la voiture. »
Le lendemain, il a raconté les faits aux autorités. Tout avait commencé à cause d’une barre de chocolat. Daisy l’avait puni en l’enfermant volontairement dans sa voiture, sous le soleil, pour « lui donner une leçon ».


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