Grâce à une collègue, Lydia mit la main sur la clé du bureau de Johanna Sterling.
La nuit même, avec Elsa, elles s’introduisirent dans le bâtiment administratif.
Derrière un cadre mal aligné, elles découvrirent un coffre.
À l’intérieur : un registre gris.
Une liste.
Des noms. Des adresses. Des dates.
Huit femmes.
Huit biens immobiliers.
Huit destins brisés.
Et la dernière ligne portait le nom de Lydia.
Statut : en cours.
Elles photographièrent chaque page.
Elias surgit.
Dans la lutte qui s’ensuivit, Elsa permit à Lydia de fuir, se livrant à leur place.
Le lendemain, lors d’une cérémonie officielle, Lydia apparut en public et révéla tout.
Les preuves.
Les victimes.
Les visages.
La vérité éclata devant la presse, les autorités et les familles.
Johanna Sterling fut arrêtée.
Elias aussi.
Les transactions furent annulées.
Lydia récupéra son appartement.
Et sa vie.
Plus tard, seule chez elle, elle ouvrit les fenêtres, laissa entrer l’air frais et remplit son espace de fleurs.
Elle avait compris une chose essentielle :
Parfois, les sourires les plus chaleureux cachent les intentions les plus sombres.
Mais il suffit d’un acte de courage — même tremblant — pour faire s’effondrer tout un système.
Il existe toujours une issue.
Toujours.


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