Ils ont humilié ma fille à la maternité, la justice a répondu – Page 2 – Recette
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Ils ont humilié ma fille à la maternité, la justice a répondu

Avant même d’avoir quitté le parking, ma sœur avait publié six photos.

Ma fille, en pleurs, portant ces mots.

Les légendes étaient tout aussi cruelles. Les commentaires ont afflué. Certains riaient. D’autres se disaient choqués, sans jamais me défendre.

J’ai éteint mon téléphone.

Le lendemain, une assistante sociale de l’hôpital est venue me voir. L’incident avait été signalé.

Une semaine plus tard, j’ai reçu un appel des services de protection de l’enfance.

« Nous avons reçu plusieurs signalements concernant des photos d’un nourrisson portant des propos dégradants », m’a expliqué une voix calme. « Et des images montrant une agression sur une mère en post-partum. »

La sécurité de l’hôpital avait fourni les vidéos. Les infirmières avaient témoigné. Les publications de ma sœur constituaient des preuves publiques.

« Nous poursuivons les personnes impliquées », m’a-t-on dit. « Agression, mise en danger d’un enfant, harcèlement. »

Les arrestations ont suivi rapidement.

Mon père, au travail. Ma mère, dans son club. Mon frère, sur la route. Ma sœur, lors d’un brunch.

Le procès a eu lieu quatre mois plus tard. Les images ont été projetées au tribunal. Chaque geste, chaque mot, clairement audibles.

Le verdict est tombé après moins de trois heures de délibération.

Coupables. Tous.

Les peines ont été lourdes. Prison, sursis, travaux d’intérêt général, ordonnances restrictives, restitution financière.

Le juge a parlé de la gravité d’humilier un nouveau-né et de frapper une mère venant d’accoucher.

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