La première chose qu’il a faite, c’est appeler son avocat. La seconde, demander à Tom de rester auprès d’Emma jusqu’à l’arrivée de la police. Tom avait déjà appelé les secours. La police était en route. Les ambulanciers aussi.
Joshua a quitté la conférence en courant. Il a pris sa voiture de location et a roulé pendant des heures, traversant plusieurs États sans presque s’arrêter. Il recevait des mises à jour : Emma avait été emmenée à l’hôpital. Elle était couverte de piqûres, en état de choc, mais consciente. Les Anderson parlaient d’un « jeu », d’une « leçon de caractère ».
À son arrivée, une audience en urgence avait été fixée. Les Anderson tentaient de faire passer Joshua pour un père absent, excessif, prêt à inventer des accusations. Ils étaient riches, influents, entourés d’avocats expérimentés.
Mais les preuves parlaient d’elles-mêmes.
Les vidéos ont été diffusées au tribunal. Les cris d’Emma. Le rire de son grand-père. Sa mère assise, un verre à la main. Le silence a envahi la salle. Le juge n’a pas hésité : la garde d’urgence a été confiée à Joshua. Shannon et sa famille n’avaient plus le droit d’approcher l’enfant.
Joshua a retrouvé Emma à l’hôpital. Elle s’est accrochée à lui en pleurant, répétant qu’elle était « désolée d’avoir été méchante ». Il lui a promis qu’elle n’avait rien fait de mal. Que ce qui s’était passé était injuste. Et que plus jamais personne ne lui ferait de mal.
Les semaines suivantes ont été consacrées à une seule chose : protéger Emma. Thérapie, stabilité, routines. Joshua a réduit son travail, organisé sa vie autour d’elle. Il a documenté chaque menace, chaque tentative d’intimidation.
Les Anderson n’ont pas lâché prise. Ils ont tenté de retourner la situation, d’accuser Joshua, de salir sa réputation. Mais d’autres voix ont commencé à s’élever.
Des anciens employés. Des clients floués. D’anciens enfants placés. Tous racontaient la même chose : abus, intimidation, pouvoir utilisé pour faire taire.


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