Un instant, il exigeait des réponses, certain que l’argent de Kene était en sécurité — l’instant d’après, on lui disait que Kene n’avait plus accès au moindre compte.
Nouveaux signataires.
Documents scellés.
Dossiers médicaux affirmant que Kene était trop malade pour autoriser quoi que ce soit.
Alors que la directrice répétait la même phrase glaciale — « Seul le signataire autorisé peut effectuer un retrait » — Felix sentit la vérité se refermer sur lui comme un piège.
Quelqu’un avait tout pris… et ce n’était pas un inconnu.
Felix n’aurait jamais imaginé qu’une simple visite à la banque détruirait tout ce qu’il croyait au sujet de son meilleur ami.
Un instant, il exigeait des réponses, certain que l’argent de Kene était en sécurité — l’instant d’après, on lui disait que Kene n’avait plus accès au moindre compte.
Nouveaux signataires.
Documents scellés.
Dossiers médicaux affirmant que Kene était trop malade pour autoriser quoi que ce soit.
Alors que la directrice répétait la même phrase glaciale — « Seul le signataire autorisé peut effectuer un retrait » — Felix sentit la vérité se refermer sur lui comme un piège.
Quelqu’un avait tout pris… et ce n’était pas un inconnu.
Felix Jenson ne s’attendait pas à ce qu’un calme mercredi matin défasse tout ce qu’il croyait sur la loyauté, la confiance et l’homme qu’il appelait son frère.
Il était entré à la Brookfield Savings Bank avec assurance — bien décidé à aider son meilleur ami, Kene Aduwali, à régler une erreur bancaire qui avait bloqué sa carte de débit durant le week-end.
« C’est un bug », avait insisté Felix.
« Le compte de Kene va très bien.
On va arranger ça. »
Mais lorsque la directrice tapa le numéro de compte de Kene, son expression passa du poli au glacé.
Sans croiser le regard de Felix, elle sortit une pochette scellée de sous le comptoir.
« Monsieur », dit-elle d’une voix tendue, « M. Aduwali n’a plus accès à ce compte. »
Felix fronça les sourcils.
« Comment ça ?
C’est son compte. »
La directrice s’éclaircit la voix.
« Il y a… de nouveaux signataires.
Le dossier indique un transfert de tutelle financière. »
Felix cligna des yeux.
« Tutelle ?
Il a trente-trois ans.
Il est en parfaite santé. »
La directrice ouvrit la pochette.
« D’après ces documents, M. Aduwali est médicalement inapte à gérer ses propres finances. »
Elle tendit à Felix une pile de papiers — des diagnostics dont il n’avait jamais entendu parler, des évaluations médicales qu’il savait mensongères, et des formulaires prétendument signés par Kene.
« C’est impossible », marmonna Felix.
« Ça… ça n’est pas réel.
Kene était avec moi hier soir.
Il n’est pas malade. »
La directrice secoua simplement la tête.
« Je suis désolée.
Mais depuis le mois dernier, il est juridiquement inapte. »
Les mots frappèrent Felix en pleine poitrine.
Inapte.
Incapable de consentir.
Incapable d’autoriser quoi que ce soit.
« Mais qui a autorisé ce changement ? » exigea Felix.
La directrice hésita.
« Seul le signataire autorisé peut effectuer un retrait. »
Felix sentit son cœur s’emballer.
« Qui est le signataire ? »


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