La question de la conscience
C’est ici que la science touche à ses limites. Les chercheurs n’ont aujourd’hui aucune preuve définitive permettant d’affirmer que la conscience survit durablement après la mort. Cependant, certains phénomènes restent difficiles à expliquer.
Les expériences de mort imminente (EMI), rapportées par des milliers de personnes à travers le monde, font partie de ces mystères. Sensation de flottement, vision d’une lumière intense, sentiment de paix profonde ou de détachement du corps : ces récits présentent des similitudes frappantes, quelles que soient les cultures.
Les neurosciences proposent une interprétation biologique. Au moment de la mort, le cerveau pourrait libérer des substances chimiques comme la sérotonine ou d’autres neurotransmetteurs, capables de provoquer des sensations intenses et des images mentales marquantes. Ainsi, ce que certains vivent comme une expérience spirituelle pourrait aussi correspondre à une réaction neurochimique de fin de vie.
Trois jours pour « partir » : entre science et traditions
Si la science reste prudente et factuelle, les traditions spirituelles offrent depuis longtemps leurs propres lectures du « temps de l’âme ».
- Dans l’hindouisme, l’âme est souvent considérée comme entamant son voyage vers l’au-delà après trois jours.
- Dans le bouddhisme tibétain, la conscience traverserait plusieurs états intermédiaires sur une période pouvant aller jusqu’à quarante-neuf jours.
- Dans certaines cultures chamaniques, des rituels sont célébrés entre le troisième et le septième jour afin d’accompagner la transition de l’esprit.
Bien que différentes, ces croyances ont un point commun : elles permettent d’honorer le passage, d’aider les vivants à faire leur deuil et de donner un sens à un événement profondément bouleversant.


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