Deux ans ont passé.
Je vis dans un appartement lumineux, chauffé, avec vue sur un parc. Je n’ai pas changé de goût pour la simplicité, seulement retrouvé la dignité du choix.
Je fais du bénévolat à la bibliothèque. J’aide d’autres personnes victimes d’abus familiaux. J’ai des amis. J’ai une vie.
Samuel est resté présent. Une amitié inattendue, née d’un geste simple, un soir de novembre.
On m’a souvent demandé si je regrettais.
Non.
On peut perdre une famille et se retrouver soi-même. On peut être rejetée pour une odeur d’oignon et découvrir, la même nuit, sa propre valeur.
Je ne suis plus la mère embarrassante. Ni la vieille femme qu’on méprise.
Je suis Geraldine Parker.
Et je suis libre.
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