Le jour du procès arriva. Claraara se présenta seule au tribunal, vêtue de son ancien uniforme de travail. Les chuchotements l’accompagnaient jusqu’à son siège. Face à elle, l’avocat des Hamilton dressa un portrait cruel : une domestique ingrate ayant abusé de la confiance d’une famille généreuse.
Sans défense efficace, Claraara écoutait en silence. Les témoins se succédaient, souvent biaisés, parfois visiblement intimidés. Adam restait figé, incapable de croiser son regard. Margaret, elle, affichait une assurance glaciale.
Lorsque Claraara prit la parole, elle parla avec dignité. Elle raconta ses années de travail, son attachement à Ethan, son honnêteté. Elle affirma n’avoir jamais volé quoi que ce soit. Ses mots semblaient se perdre dans le vide. Personne ne la soutint.
Pourtant, des incohérences apparurent peu à peu : une caméra de sécurité désactivée au moment du vol, des témoins soudainement silencieux, une gouvernante congédiée sans explication. Claraara sentait que quelque chose clochait, sans pouvoir le prouver.
Un tournant survint lorsqu’une jeune avocate, Emily, se présenta chez elle. Touchée par l’injustice de l’affaire, elle proposa de la défendre. Bien que peu expérimentée, Emily crut en l’innocence de Claraara et commença à analyser chaque détail du dossier.
Emily découvrit des rapports incomplets, des horaires contradictoires et des éléments volontairement omis. Elle apprit même que le bijou aurait été porté par Margaret lors d’un gala, quelques jours après sa prétendue disparition. Une photo l’attestait… avant de disparaître mystérieusement d’internet.
La pression monta aussi au sein de la famille Hamilton. Ethan se souvenait désormais clairement d’une scène : la nuit du vol, il avait aperçu sa grand-mère près de la salle des bijoux. Lorsqu’il avait tenté d’en parler, Margaret l’avait réduit au silence et menacé.
Adam, de son côté, retrouva une vieille vidéo montrant Claraara réconfortant Ethan après la mort de sa mère. Le doute s’installa enfin dans son esprit. Avait-il condamné une innocente ?
Le troisième jour du procès, la tension était palpable. Claraara, épuisée, se préparait au pire. Emily lui murmura de tenir bon.
C’est alors que les portes de la salle d’audience s’ouvrirent brusquement.


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