Ma fille de trois ans a failli mourir après que mes parents l’ont délibérément laissée enfermée dans une voiture pendant plus de trois heures, en pleine canicule, pendant qu’ils faisaient du shopping. Lorsque j’ai reçu l’appel d’une inconnue m’annonçant qu’elle avait été retrouvée inconsciente, je me suis précipitée à l’hôpital. Mes parents sont arrivés des heures plus tard… en riant.
Ce jour-là, je n’ai ni pleuré ni supplié. J’ai agi. Et en quelques heures, leur vie a commencé à s’effondrer.
L’appel qui a tout fait basculer
Le téléphone a vibré à 14 h 47, en pleine réunion. Une voix tremblante m’a demandé si j’étais la mère d’Emma. Une femme venait de trouver ma fille enfermée dans une voiture sur le parking d’un centre commercial. Elle était inconsciente. Une ambulance était en route.
Il faisait 34 °C ce jour-là. Les vitres étaient fermées. Ma fille avait été laissée là plus de deux heures. Les secours ont dû briser une vitre pour la sortir.
À l’hôpital, le diagnostic est tombé : déshydratation sévère, température corporelle dangereusement élevée, risque imminent de coup de chaleur. Elle était vivante par miracle.
La voiture était immatriculée au nom de ma mère.
Des grands-parents absents… puis violents
Mes parents avaient insisté pour garder Emma ce matin-là. Ma sœur était en visite, ils voulaient « profiter de leur petite-fille ». J’avais hésité. J’aurais dû écouter mon instinct.
Ils sont arrivés à l’hôpital plus de quatre heures après avoir laissé Emma dans la voiture. Chargés de sacs, détendus, souriants. Ma sœur a lancé : « On a passé un super moment sans elle. » Ma mère a ajouté : « Elle devait apprendre la patience. »
Quand je les ai confrontés, mon père m’a attrapée à la gorge et m’a plaquée contre un mur de l’hôpital. Ma sœur m’a giflée, puis frappée. Ma mère m’a tiré les cheveux en m’insultant. Le tout devant des témoins. La sécurité est intervenue.
Je me suis relevée en silence et j’ai appelé mon avocat depuis le couloir.


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