Elle prend un fusil .50 cal… et abat 6 cibles en quelques secondes – Recette
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Elle prend un fusil .50 cal… et abat 6 cibles en quelques secondes

L’amirale Sarah Mitchell se tenait au bord du champ de tir militaire, son uniforme impeccable de la Navy accrochant la lumière du matin. L’air était chargé d’odeurs de poudre et de terre fraîchement retournée, tandis que des soldats s’exerçaient au tir non loin. À 52 ans, elle avait passé plus de trente années à gravir les échelons de la Marine, gagnant le respect par son intelligence stratégique et un commandement sans faille. Mais ce jour-là n’avait rien à voir avec la planification de missions ou la direction de flottes.

Une semaine plus tôt, elle avait reçu une invitation personnelle du général Marcus Rodriguez, un ami de longue date rencontré à l’académie militaire. Le concours annuel interarmées de tir approchait, et cette édition avait une portée symbolique particulière : pour la première fois de l’histoire militaire, une femme amirale était invitée à participer à l’épreuve d’élite des tireurs d’exception.

Sa présence avait fait parler dans les couloirs du Pentagone. Certains y voyaient un coup de communication, d’autres une provocation. Sarah, elle, considérait cette invitation comme une occasion simple : prouver qu’un haut commandement pouvait aussi maîtriser les compétences fondamentales du soldat.

En apparence confiante, elle cachait pourtant une histoire personnelle plus profonde. Élevée dans un ranch du Montana, elle avait appris à tirer avant même de savoir faire du vélo. Son père, ancien Marine, lui avait transmis une discipline rigoureuse et le respect absolu de la précision. Ces années passées à tirer sur la propriété familiale avaient façonné une tireuse naturelle, même si sa carrière militaire lui avait ensuite laissé peu d’occasions d’entretenir cette aptitude.

Sur le pas de tir, le chef de stand, un sergent chevronné, lui expliqua les règles : six cibles à des distances comprises entre 300 et 1 300 mètres, un tir par cible, et seulement 90 secondes pour tout accomplir. L’arme imposée était le redoutable Barrett M82, un fusil de précision de calibre .50, pesant près de trente kilos.

Autour d’elle, les regards mêlaient curiosité et scepticisme. Certains officiers souriaient avec condescendance, d’autres observaient avec un respect prudent. Sarah prit le temps d’examiner l’arme, ajusta la lunette, testa la détente. Le fusil était parfaitement entretenu.

Lorsqu’elle s’allongea en position de tir, le brouhaha s’estompa. Sa respiration ralentit, son esprit se focalisa. À l’annonce du départ, le premier coup partit avec fracas. La balle frappa la cible à 300 mètres en plein centre.

Sans hésiter, elle enchaîna. 500 mètres : impact parfait. 700 mètres : même précision. Les murmures se transformèrent en silence tendu. Les visages sceptiques devinrent attentifs.

À 900 mètres, puis à 1 100 mètres, Sarah compensa le vent, la chaleur, la distance. Chaque tir était méthodique, fluide, implacable. Cinq cibles, cinq impacts.

La dernière cible, à 1 300 mètres, représentait un défi que peu osaient relever avec assurance. Sarah prit une fraction de seconde supplémentaire, ajusta son point de visée et pressa la détente.

Le sixième impact résonna comme un verdict.

Six cibles touchées. Six tirs. En 86 secondes.

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